Ce dimanche, vos élus départementaux remettaient les prix à l'issue du vingtième concours international d'attelage de Cuts.
Ce dimanche, vos élus départementaux remettaient les prix à l'issue du vingtième concours international d'attelage de Cuts.
Tribune de
Jean-Marc BRANCHE
Conseiller municipal "Compiègne Bleu Marine"
Que doit-on retenir des derniers événements ayant eu lieu à Compiègne il y a quelques semaines dans le quartier du Clos-des Roses ? Notre belle cité s’est transformée en champ de bataille, opposant toute une logistique criminelle au service du trafic de drogue et de la délinquance à des autorités dépassées par tant de moyens déployés afin de préserver cette petite entreprise, qui ne connaît pas la crise.
Des dizaines de véhicules communaux ont été incendiés, ainsi que le véhicule d’un élu. Des vigiles, censés empêcher la présence des trafiquants en bas des immeubles, ont été attaqués par des dizaines d’individus et obligés de se retrancher chez de courageux riverains leur ayant donné asile. Des infrastructures communales ont encore une fois été dégradées.
Nous ne savons si Compiègne est devenu Fort Alamo, mais la situation est surtout devenue fort alarmante !
Notre ville est devenue l’antichambre, le laboratoire de ce qui constituera à n’en point douter l’évolution de notre société toute entière, si nos gouvernants nationaux et locaux ne réagissent pas face à l’impunité toujours grandissante de cette criminalité.
Fruit de décennies de renoncements, de compromissions, de complaisances à visées électoralistes, le résultat est à la mesure de la déliquescence programmée de notre société. Toujours plus de subventions pour une politique de la ville fort coûteuse et inefficace et des habitants ne comprenant pas pourquoi on les abandonne, au profit de minorités couvertes par l’impunité. Sans parler de certaines associations (telle le «conseil de la vie» pour ne pas la citer) sponsorisées par la municipalité, censées favoriser la paix sociale mais n’étant que des officines clientélistes vides de sens. Que l’on décide de contrarier les activités délictueuses de ces délinquants, et c’est l’insurrection qui prévaut, en grand dam des forces de police qui n’ont malheureusement pas toute latitude pour éradiquer le phénomène.
Il est grand temps de prendre les mesures drastiques qui s’imposent. Le Front National demande la plus grande fermeté vis-à-vis de ces voyous, et que nos concitoyens vivant dans ces quartiers soient enfin écoutés et protégés !
Jean Marc Branche
Conseiller régional de Picardie NPDC
Conseiller municipal et communautaire de Compiègne
Voici le premier numéro du "Réveil Noyonnais", journal d'information des élus Bleu Marine du Noyonnais.
Bonne lecture à tous !
Communiqué de presse
La volonté du gouvernement PS, de Valls et Hollande, de modifier profondément l’organisation territoriale et administrative de la France va se concrétiser encore un peu plus, à travers les schémas intercommunaux arrêtés au 31 mars dernier.
Au 1er janvier 2017, la France ne comptera plus que 1.265 intercommunalités au lieu de 2.060 communautés de communes sectorielles, soit 795 de moins.
Les Commissions Départementales de Coopération Intercommunale (CDCI) ont prescrit 449 fusions programmées, 40 dissolutions de communautés et 21 créations de communautés d’agglomération et prévu 2 communautés urbaines sont prévues.
Cette nouvelle carte intercommunale va poser un certain nombre de problèmes complexes, tels que l’harmonisation de la fiscalité dans les EPCI à fiscalité propre créées par fusion, le retour de certaines compétences intercommunales aux communes et l’articulation des futurs périmètres tenant compte de la création de communes nouvelles.
Le ministre J-M. Baylet n’étant pas favorable au report d’une année pour mettre en vigueur les nouveaux périmètres intercommunaux, cette réforme sera, elle aussi, faite à la va vite, bâclée, bancale et inefficace pour l’amélioration du service public dans les territoires concernés.
Au-delà de ces problématiques, cette opération va renforcer, sur des zones géographiques largement agrandies, le pouvoir des potentats locaux sur des populations bien plus importantes, les tractations de couloirs pour accaparer le pouvoir dans ces nouvelles structures ne vont pas honorer la démocratie et rendre encore plus détestables les mauvaises habitudes prises par l’UMPS pour se partager le pouvoir dans les EPCI.
Les Français qui ne veulent plus de ce système devront se mobiliser lors des élections présidentielles, législatives et sénatoriales de 2017, pour redonner au pays une organisation territoriale et politique utile et efficace pour nos concitoyens.
Les médias ne tarissent pas d’éloges sur la série de Canal+ « le bureau des légendes » et sur son « héros » le sieur Mathieu Kassovitz à qui le succès de cette deuxième saison devrait rapporter un peu d’argent.
M. Kassovitz, à qui l’on doit aujourd’hui rafraîchir un peu la mémoire, a, en effet, bénéficié en 2008 d’une avance remboursable du Conseil régional de Picardie, s’élevant à 250.000 € par le biais de sa société de production MNP Entreprise créée en 2000.
Cette société ayant été mise en liquidation judiciaire en 2010, M. Kassovitz n’a jamais remboursé les 250.000 € aux contribuables Picards !
Le 25 octobre 2012, Michel GUINIOT, au nom du groupe Front National, dénonçait publiquement cette affaire scandaleuse, révélatrice des derives financières des collectivités locales au nom de la culture bobo-gaucho et au profit des copains du PS.
La direction socialiste du Conseil régional de Picardie affirmait en réponse, le même jour, sur France 3 Picardie, qu’il n’y aurait pas d’abandon de créance, qu’une procédure amiable serait engagée avant d’avoir recours à une procédure judiciaire…
Cet engagement à la François Hollande n’a jamais été suivi d’effet pour récupérer ces 250.000 € qui représentent le salaire d’un smicard durant plus de 20 ans !!!
Communiqué de presse
de Laurent GUINIOT
Secrétaire départemental adjoint
Conseiller municipal et communautaire de Noyon
Par courrier du 15 avril, les élus Bleu Marine de la Communauté de Communes du Pays Noyonnais ont saisi le Préfet, Didier Martin, sur d’importants manquements lors de la présentation du budget 2016.
En effet, alors que l’article L2121-13 du Code Général des Collectivités Territoriales rappelle que « tout conseiller municipal, dans le cadre de sa fonction, doit être informé des affaires de la commune faisant l’objet d’une délibération ».
Ce qui pour le budget primitif 2016 n’est manifestement pas le cas puisque de nombreuses données synthétiques n’ont pas été produites.
Par ailleurs, un certain nombre d’annexes ne l’ont pas été non plus, pas plus que la présentation croisée.
Devant la désinvolture avec laquelle a été présenté le budget primitif 2016, les élus Bleu Marine, Laurent GUINIOT, Isabelle MAREIRO et Alexandre CAVE, ont demandé au préfet, en tant que garant de l’application de la loi dans le département, de faire cesser ces pratiques.
Les élus Bleu Marine se réservent le droit de saisir le Tribunal Administratif en vue de l’annulation du budget 2016 de la CCPN.
Vice-président du groupe FN au Conseil régional de Picardie - Nord-Pas-de-Calais
Lors de la réunion du Conseil départemental, lundi 2 mai 2016, une adhésion à l’Association de Soutien pour l’Exercice des Responsabilités Départementales et Locales (ASERDEL) a été soumise au vote de la Commission permanente.
Cette association n’est pas anodine puisque la consultation de son site internet indique clairement l’appartenance politique unique de l’ASERDEL : l’UMP !
Eric Doligé, Sénateur du Loiret en est le Président ; Jean-Léonce Dupont, Vice-président du Sénat et Président du Conseil départemental du Calvados ; Patrick Weiten, Président du Conseil départemental de la Moselle ; Dominique Bussereau, Président du Conseil départemental de la Charente-Maritime ; Benoît Hure, Président du Conseil départemental des Ardennes ; Jean-Claude, Luche Président du Conseil Départemental de l’Aveyron ; René-Paul Savary, Président du Conseil Départemental de la Marne ; sont tous des élus de l’UMP.
La composition du bureau ne laisse donc aucun doute sur sa couleur politique.
Le département de l’Oise étant déjà membre, à prix d’or, de l’Association des Départements de France, les élus du Front National ont voté contre cette adhésion s’élevant à 14.000 euros.
La majorité UMP, ayant réduit les aides financières des associations, des clubs sportifs et de différents dispositifs de l’action publique, aurait pu se dispenser de cette dépense.
Vice-président du groupe FN au Conseil régional de Picardie - Nord-Pas-de-Calais
La Commission Permanente du Conseil départemental de l’Oise a attribué la somme de 110.170 euros aux épiceries sociales et solidaires de structure dans les communes de l’Oise :
Noyon, Compiègne, Beauvais, Grandvilliers, Chantilly, Betz, Nanteuil-le-Haudouin, Crépy-en-Valois, Clermont, Creil, Villers-Saint-Paul, Liancourt, Thelle sur Bray et Méru.
Les élus du Front National ont bien sûr soutenu et voté pour ce dossier, ils ont par ailleurs réclamé, en plus des critères sociaux-économiques et familiaux une meilleure appréciation des revenus de certains bénéficiaires qui au vu de leurs signes extérieurs de richesse (ex : automobile luxueuse), ne devraient manifestement pas prétendre à cette aide, qui doit être réservée aux plus démunis, comme les mères de famille isolées, les jeunes couples sans revenus, les personnes âgées dans la détresse, etc…
L’objectif de cette demande est bien sûr de distribuer mieux afin de distribuer plus à ceux qui en ont réellement besoin.